mardi 28 août 2007
Mauvais rêve, quand tu nous tiens...
Un mauvais rêve que j'ai fait après avoir mangé du McDo...
Je suis dans un camp de concentration. Il fait jour, c'est clôturé et il y a quelques buissons. Je suis en train de courir pour me cacher d'un gros bonhomme barbu et suintant. Il a un gros cigare dans la bouche et porte une camisole crasseuse qui fut jadis blanche et qui est maintenant parsemée de tâches brune et jaunes. Un buisson à ma gauche. La peu au ventre je tente de m'y camoufler mais mes jambes dépassent. Je m'égratigne le visage et les mains sur les branches et les cailloux qui parsèment le sol. Je sors de là et rampant sur le sol terreux, je cherche une autre cachette. Il un a une cabane en bois avec une arbre qui la surplombe. Je grimpe dessus pour me dissimuler dans les feuilles qui recouvrent la cabane. Ça ne fonctionne toujours pas; il y a toujours une partie de mon corps qui est à découvert et je tremble. Je manque d'air. Une main m'empoigne la cheville. Une main forte, puissante. Je suis propulsée en bas de la cabane et me cogne la tête sur le sol en tombant. La main me tire par les cheveux, me traînant sur la terre sans ménagement. On m'aligne contre un mur avec d'autres gens tout aussi terrorisés que moi. Camille, ma chienne, est soudainement dans mes bras. J'ai peur pour elle et je la tiens bien fort contre mon torse en la caressant pour la rassurer. Elle tremble aussi. Le gros bonhomme vient vers moi. Il a un gros fusil de chasse dans la main et pointe son canon sur la nuque de ma chienne. Je le supplie de l'épargner et de me tuer à la place. J'ai peur quand même pour elle. Une fois qu'il m'aura tuée, je sens qu'il va la battre à mort à coup de pieds. Il me tend le fusil et me dis que si je ne veux pas qu'il la tue, je devrai le faire moi-même. je pleure de rage et de peur. Je prend le fusil dans mes mains et à la dernière seconde, je pointe le canon vers lui et j'appuie sur la gâchette. Un clic. Il n'y a pas de balle dans le fusil. Il me frappe au visage en riant. il sort maintenant un revolver tout argenté et me dis que puisque je veux le voir mort, on va jouer à la roulette russe. Un coup pour lui, un coup pour Camille. Il met l'arme dans sa bouche. Clic. La balle n'est pas pour lui. C'est à mon tour. Je vois que le prochain coup sera le bon et au lieu viser le gros salaud, je vise Camille...
Je me suis réveillée. Camille dors à côté de moi. Je la réveille et lui fait un énorme câlin.
Est-ce que j'allais vraiment tuer ma chienne? Je ne sais pas...
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